L'abeille est aussi une economie.

Un extrait des "abeilles et des hommes", que je ne vous recommande pas forcement d'aller voir, le ton du documentaire étant globalement le même que celui de l'extrait.

Aujourd'hui, notamment aux Etats Unies, l'apiculture est subventionné et aussi rationalisé qu'une autres exploitation agricole.

la nécessité de production de masse, ou d'obligation de résultat, détruisant la " relation entre l'apiculteur et sa ruche " ( nb doc). l'aspect manutentionnaire de la production prend le pas sur l'attention apporté par l'apiculteur a son cheptel.

On peut observer un procédé d'essaimage artificiel des ruches, brutal, mais efficace.

D'un point de vue d'un apiculteur,c'est une méthode fonctionnel: la ruche n’étant pas un individu , mais une masse homogène d'insectes, elle se re hiérarchise afin de produire une nouvelle reine, ou d'en accepter une autre ( c'est le cas dans le documentaire )cela parait violent parce que la plupart du gens on une vision idyllique de l'apiculture, et du métier de l’apiculteur, personnifiant l'abeille dans un environnement de plus en plus hostile.

Aprés doit on forcement lourdement insisté, sur le massacre a la desoperculeuse ( machine a lame du début ) d'abeilles englués dans le miel?

Peut être qu'en dénonçant le fait que l'apiculture est une industrie agricole comme les autres, on essaye aussi d'apitoyer le public sur le sort des abeilles. Le film, souhaitant dénoncer la mort programmé de l'abeille et de l'apiculture, ne s'attarde pas trop sur les facteurs de disparitions non plus....

Je n'aime pas que l'on montre un visage pittoresque de mon métier, mais l'apiculture de se type n'est pas représentative du reste de l'apiculture:

la majorité des ruches est détenues par les amateurs qui aiment leurs ruches, et font vivre l'apiculture dans le monde.Ces derniers échappent aux exigences du marché, et ne souhaitent que le bien être de leurs colonies et quelques pots de miel en retour.

essaims artificielles a la chaine.